mercredi 9 avril 2014

DOLCE VITA J1

Naples en arrivant...

En sortant de l'aéroport, nous avons pris le bus,
(après avoir un peu cherché, progrès à faire en italien): direction notre hôtel.
Premiers aperçus de la ville avec nos yeux de touristes.
La même chose en France, nous laisserait-elle ce sourire aux lèvres et ce sentiment d'être en vacances ?
(densité, circulation dense, manque de propreté).

En entrant dans la cour de l'hôtel, nous sommes saisis par le contraste entre le calme, la fraîcheur et, le bruit de la rue que nous venons de quitter. "Ah ! bon choix !":  nous nous félicitons.
Puis notre odorat détecte le parfum de l'oranger qui fleurit à peine: détente complète avant même de rentrer dans l'hôtel.
Chaque jour, à chaque passage, ce sera un vrai plaisir que de sentir cet oranger.








Après notre semaine fatiguante,
le réveil aux aurores pour prendre l'avion,
nous écrasons un somme (pas d'image plus vraie) avant de partir flâner dans les rues, et surtout déjeuner !


Très bon repas dans un resto sympa,
avec accord du patron pour payer en carte bleue.
Le préciser est utile si vous souhaitez voyager en Italie:
la monnaie est préférée et la CB pas toujours acceptée de bon coeur.
Heureusement que nous avions demandé au patron avant de commander, car au moment de la "conta", le serveur qui visiblement n'était pas au courant, a refusé de nous la prendre : il a fallu faire appeler le patron...(dans notre italien approximatif, un régal).
Objectif en sortant de notre repas: faire de la monnaie.

De superbes sculptures en marbre blanc à la Santa Maria della Pietà dei sangro nous attendent:
magnifique.


Bon, il faut le voir de prêt pour apprécier.

Puis, nous avons déambulé vers Santa Chiara et pris le pouls ainsi de la ville, qui s'anime vers le soir.


Un petit tour vers le port pour notre escapade du lendemain à Capri,
nous apprend qu'il n'est pas possible de réserver notre billet pour la traversée.
Nous comprenons que l'organisation et l'anticipation ne sont pas au goût du jour pour aller sur les îles,
et repartons avec le sentiment que nous ne sommes pas encore à Capri...

Le soir venu, une promenade digestive nous conduit sur les hauteurs de Naples, afin d'aller visiter le château San Elmo...Une pensée pour la famille Raballand ! Elmo étant dans mon sac, j'espère bien faire une belle photo de ce dernier dans son château...
Une méchante écharde dans le pied depuis la veille, m'oblige à compter mes pas, aussi, lorsque je m'aperçois que le château est fermé, je suis frustrée de ne pouvoir réaliser la photo espérée. Je ne peux plus marcher et faire le détour pour ladite photo est impossible. Désolation et tristesse !
Il me reste donc à vous montrer : Elmo dans le funiculaire qui monte vers le château !

La superbe vue sur la ville, prise par Elmo depuis la place sous le château:


Elmo a beaucoup aimé !



Grâce à internet, je suis en mesure de vous montrer ce château tout de même, ouf :





Repas italien et dodo...après avoir retiré cette satanée écharde qui m'a enquiquinée et empêchée de faire LA photo qu'il ne fallait pas rater !! Bouhouhouhou...

Vue de l'hôtel depuis l'hôtel en face ! 
Photo prise sur le net !!
Notre chambre se situe en face du parasol blanc, au fond.

Le lendemain donc, samedi, nous nous réveillons de bonne heure afin de monter dans le 2eme ferry.
Petit déjeuner de bonne heure (le serveur italien n'aime pas l'italien de Sylvain, qui pourtant c'était très bien débrouillé d'après un français qui a voulu nous aider; bref: parenthèse).

Après avoir choisi un chemin bêtement pas le plus court à travers la ville :
beaucoup de monde devant les caisses du ferry;
normale: c'est samedi, il fait beau, et ...on ne peut pas réserver à l'avance.

...Nous faisons la queue, un peu inquiets devant le monde qui attend, l'heure bien avancée, le bateau à quai qui s'impatiente...
Au compte goutte, ceux qui ont leur billet courent rejoindre le ferry.
Et alors qu'il ne reste que 3 personnes devant nous: arrêt de la vente de billets pour Capri...
Arggghhh !!! Déception !

Dire qu'on aurait pu faire la grasse matinée !

Bon, ni une ni deux: direction Pompei, avec le sac à dos rempli, nos manteaux (pour le bateau normalement), sans les supers documents sur Pompei prêtés par une amie, bref : à l'arrache.
Plan B.

Nous regagnons la place Garibaldi maintenant que nous maîtrisons le plan du bus et prenons le train de banlieue.
Nous voilà partis en direction du Vésuve.
Le vieux train bondé de touristes comme nous, a son charme. Il manque le "tchoutchou" et nous sommes ailleurs. Sylvain pique un somme; je regarde les nombreux immeubles défraîchis s'aligner le long de la voie ferrée, les kilomètres de linge pendus aux balcons et autres ouvertures.
C'est samedi, jour de lessive, comme partout.

En avant vers l'Histoire !

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